XXIe siècle :
l’apprentissage de la finitude du monde
La croissance économique des « trente glorieuses » (de 1945 à 1975) nous a donné l’illusion d’un monde dans lequel nous pouvions puiser sans limite toutes les ressources et matières premières nécessaires à nos activités, et rejeter sans autre tous nos déchets dans l’environnement.
Conférences Climat, équilibre thermique
de la Terre et
stratégies énergétiques La planète Terre en jeu
et l’enjeu plané ...Terre Equilibre thermique de la Terre
et rejets de CO2, l’accessible
nous a conduit à oublier le durable
A propos
des conférences
Le réchauffement climatique,
une controverse entre
doutes et certitudes
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XXIe siècle :
L’apprentissage de la finitude
Aujourd’hui, ce système de développement a atteint ses limites. Et si nous voulons éviter les « trente piteuses », une transition vers un développement durable, qui préserve les ressources naturelles et l'environnement, est indispensable ! Comment faut-il l’envisager ?
-  Aujourd’hui, la vitesse à laquelle nous modifions notre environnement (rejets de gaz carbonique dans l’atmosphère, acidification des océans, pollution des eaux, etc…) dépasse les capacités de la nature à s’adapter sans atteindre des points de rupture.
-  Le système économique mondialisé repose sur des transports de personnes et de marchandises eux aussi mondialisés. Ces transports fonctionnent presque uniquement au pétrole et cette dépendance énergétique nous fait courir de grands risques, non seulement environnementaux mais aussi économiques. Par exemple, le système n’affiche qu’une très faible résilience face à une augmentation du prix des énergies fossiles.
-  Pour soutenir la croissance économique, le système de production-consommation mondialisé a des besoins en énergie et en métaux toujours plus grands. Or les gisements en énergies fossiles et en minerais métalliques, faciles d’accès et de bonne qualité, sont déjà tous en exploitation. Avec leur épuisement, il n’est pas exclu que les prix de ces matières premières finissent par augmenter plus vite que le niveau des salaires.
-  L’illusion de l’infinitude a notamment été entretenue par une formidable augmentation de la richesse dans les pays industrialisés, augmentation rendue possible d’une part grâce au fait que les prix des énergies fossiles et des minerais ont augmenté nettement moins vite que le niveau des salaires, et d’autre part par la délocalisation de nos industries dans les pays à main d’œuvre bon marché.
la finitude du monde :
À cette échelle, les terres cultivables peuvent être estimées par une sphère de 30 à 40 km de rayon, donc un point minuscule !
Cette conférence permet de comprendre quels sont les enjeux climatiques, énergétiques et économiques et pourquoi ils sont liés les uns aux autres. Elle aborde les problèmes qui se présentent et les solutions praticables. Voici quelques informations complémentaires au sujet de cette conférence :
Dernière mise à jour :  13/4/2016
Connaissance 3 à Nyon, le 25/1/13
La Tour-de-Peilz, le 3 novembre 2014